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 Apokoronas : Histoire

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MessageSujet: Apokoronas : Histoire   Apokoronas : Histoire Icon_minitimeSam 2 Fév - 15:32

Apokoronas est une des cinq provinces du département de La Cannée (Chania) en Crète, dans sa partie nord-est. Au nord se trouve la mer de Crète, au sud la province de Sfakia et Rethymno, à l’est le département de Rethymno, et à l’ouest la province de Kydonia.

L’appelation :
L’étymologie du toponyme reste inconnue. Dans l’antiquité il n’est jamais fait mention du mot « Apokoronas », excepté dans l’appellation de villages de la province. Lors de la période byzantine, il est fait mention comme un lieu dans la région. Lors de la domination vénitienne de la Crète, il est fait mention comme province mais sans en donner limites exactes.

Lors de la division de la Crète en 4 parties, Apokoronas a été rattachée à La Cannée. Le toponyme est mentionné dans le traité entre le général byzantin Batatzi et le duc crétois Ioustiniani en 1236 mais en tant qu’ « Apikonna ». Le voyageur R. Pashley (Travels in Crete, vol. I, p62) et N. Stavrakis (Statistiques p74) pensent qu’il a existé une ancienne ville portant le nom d’Ippokoronion, lié au village actuel de Nippos. St. Xanthoudidis (Provinces et villes de Crète EEBS, ed. G p56) ne donne pas d’étymologie à Ippokoronion mais le mentionne cependant comme village de Stef. Byzantiou et mentionne l’existence en Crète d’un lieu se nommant Korion (« Punaise ») qui semble-t-il s’étendrait aujourd’hui jusqu’au lac de Kournas Apokoronas et l’Ippokorion sacré d’où proviendrait Ippokoronion. K Dounakis (Histoire de la Province crétoise d’Apokoronas, revue Foyer Crétois n°171 p242) soutient que l’origine proviendrait des mots Apo signifiant « de » et Korona, « couronne », puisque la province fut un domaine privé de la « couronne » des empereurs byzantins.

Apokoronas couvre une superficie de 313 km² pour 11.827 habitants (recensement de 1991) avec une densité d’environs 38 habitants par km². De la superficie de la province, 98 km² sont des plaines, 103 km² sont semi-montagneux et 112 km² sont montagneux. Apokoronas possède 34 communautés et 75 villages. Le chef-lieu de la province est Vamos.

La situation géographique de la province est importante. Elle sert de lien entre La Cannée et les autres départements de la Crète, ce qui la privilégie. Apokoronas se trouve à la fin de la côte sud du golfe de Souda et est baigné par le golfe d’Almyrou (« Salé ») ou de Georgioupoli (« Ville de Georges »). Nous trouvons également les deux caps de Souda et de Drepanos (ou Drapanos). La majeure partie de la région montagneuse de la province est occupée par les monts du Lefka Ori (« Montagnes Blanches ») avec de hauts sommets comme l’Agio Pnevma (« Esprit Saint ») culminant à 2.254 mètres, dont une partie appartient à Apokoronas, comme le sommet Spathi avec une hauteur de 2.046 mètres, mais aussi le mont Kordas (1.612m) et Korfalia (1.300m). Le Dafnomadara et ses 1.800 mètres domine le beau lac de Kournas, au-dessus de « Brosnero tou Theou o Kipos », une magnifique colline de 815 mètres.

Rivières :
Apokoronas est traversé par le fleuve Kiliaris ayant sa source dans la montagne Varsamo dans les Lefka Ori (Montagnes Blanches) et se jetant dans le golfe de Souda. Dans l’antiquité, les buissons et nombreux arbres de ses rives lui donnèrent l’appellation de Piknos, « Dense » en grec. A l’est du Kiliaris se trouve la rivière Xidias ou Xidès, venant d’Armeni et se terminant à la plage à l’est de Klayves. Le Vrysanos ou Boutakas est une autre rivière traversant la vallée de Vryses (« Sources ») et se jetant dans le golfe d’Almyros. A l’Ouest de Georgioupoli aboutit la rivière Almyros venant de la région tout autour et à l’est du village, aboutit la rivière Delfinas venant de la région de Kournas.

Au nord-ouest du village de Kournas se trouve le lac homonyme, unique lac naturel de Crète. Son périmètre est de 3,5 km pour une superficie de 1,2 à 1,4 km².

Les plaines les plus importantes sont situées dans les régions de Stylos (« Piquet »), Vryses et du fleuve Almyros.

Au sud de Vryses, à la frontière entre les provinces d’Apokoronas et de Sfakia, se trouve le plateau de Krapis. Un autre plateau est situé au sud-est d’Alikampos, de Klimatos (« Climat »).

A Apokoronas nous trouvons également d’Importantes gorges. La belle gorge de Diktamos aux versants verticaux, commençant à Katohori Keramion (« village bas » de Keramies) et se terminant près de Sylos. Elle appartient environs pour moitié à la province d’Apokoronas, le reste étant dans la province de Kydonias. L’Agiou Nikola-Kanali (St Nicolas « Canal »), avec sa végétation sauvage, est située entre Ramni et Mahairi. Notons encore celle d’Asi Gonias.
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MessageSujet: La deuxième partie en primeur...   Apokoronas : Histoire Icon_minitimeMer 6 Fév - 14:34

Grottes :
213 grottes ont été recensées dans la province : 17 à Brosnero, 15 à Ramni et Stylos, 14 à Kokkino Horio, 13 à Kalyves, 12 à Kefalas, 10 à Asi Gonia, Kalami, Megala Horafia, et Sellia, 8 à Armeni, Melidoni et Tzitzifes, 7 à Gavalohori et Kalamisti d’Amugdali, 6 à Alikampos, Vafes et Maza, 5 à Plaka, 4 à Georgioupoli, Kastelos, Païdohori et Filaki, 3 à Vamos et Pemonia, 2 à Kaina, Kournas, Nippos, Xirosteri et Frès et une à Nio Horio. Les plus importantes d’entres elles, importantes également point de vue historique, sont : Krionerida (« Petite eau froide ») au sud-ouest de Vafes où les Turcs ont tués en 1821 130 martyrs chrétiens de la région. Karavotopos (« Lieu du bateau ») ou Petsi o Spilios (« Grotte de Petsi ») située au nord-ouest de Kokkino Horio et décorée de magnifiques stalactites et stalagmites. En 1821, des chrétiens de la région s’y sont réfugiés mais lorsqu’ils ont été découverts par les Turcs, ces derniers en ont tués environs 120. Haïnospilios (« Grotte béante ») est située au sud-ouest d’Asi Gonia. C’était un abri et une base stratégique des rebelles contre la domination turque (turcocratie) et vit l’installation, en 1899, l’installation d’une imprimerie du comité révolutionnaire.
En plus de ses magnifiques beautés naturelles, Apokoronas est également une province riche. Les principales cultures sont l’olivier, l’amandier, le caroubier, les agrumes, le pistachier (arachides) et les céréales. De nombreux habitants travaillent dans les ruches tandis que dans les montagnes les habitants travaillent plutôt dans l’élevage et la production de produits laitiers. Ces dernières années, de grandes unités de production de différents produits ont été construites dans la région et de grands travaux d’irrigation réalisés.

Plages :
Les plages de la province sont très développées touristiquement, alors que les villages de l’intérieur des terres maintiennent une architecture traditionnelle en relation avec le bel environnement naturel.

Sites archéologiques :
Des éléments témoignent d’une présence humaine à Apokoronas depuis le néolithique, vers les années 8.000 à 6.000, et une cité se trouvait à cette époque entre Samona et Stylos. Des tombes préminoennes ont été découvertes près d’Aptera avec de nombreux fragments de céramiques et autres reliques de la même époque. Près du village de Filaki, une tombe voûtée et d’autres découvertes remarquables de la même époque ont été réalisées.
A Apokoronas, les importants sites archéologiques témoignent d’une brillante évolution culturelle tout au long des siècles. Nous trouvons les anciennes cités suivantes : Aptera dans la région du village de Megala Horafia, au-dessus du golfe de Souda. C’était une ville commerciale avec des ports à Kisamos (près du village de Kalyves) et à Minoa (en contrebas du village de Sternes Kydonias). Ippokoronion était situé à la place ou fut construit plus tard le village d’Aptera ou près du village de Kalyves. Amfimalla situé au sud-ouest du golfe d’Almyros. Korion (« Punaise ») avec l’église d’Athina Korisias. Le nom du village a conduit de nombreux chercheur du côté du village de Kournas ou vers le lac de Kournas qui s’appelait Korisia dans l’antiquité. Ydramia, situé près du village de Drama, servait de port à la ville de Lappa (Argiroupoli Rethymnou). Kisamos, situé près du village de Kalyves, servait de port à Aptera. Katri ou Katreis –comme nous pensons- à la place hellénique de Brosnerou.
Dans la province sont conservés les vestiges paléochrétiens suivants (principalement des 5e et 6e siècles) : sol couvert de mosaïques, bâtiment avec abside et tombes à Aptera, sol couvert de mosaïques et bâtiment en forme de croix à Almyrida, vestiges de mosaïques et traces de bâtiments sur la colline Finika Almirida, mosaïques (sol) de l’église Kimisis tis Theotokou (« Dormition de la Vierge ») à Armeni, basilique à 3 nefs sur l’église byzantine d’Agios Nikolaos à Kiriakosellia, basilique à 3 nefs à côté de l’église d’Agios Kiriakis (Saint Dominique) à Georgioupoli, église Agias Triados (« Sainte Trinité ») à kalyves, parties (au niveau des colonnes et du campanile) de l’église Kimiseos tis Theotokou (« Dormition de la Vierge ») à Gavalohori et la base ionienne en marbre d’une colonne de l’église de la Metamorfoseos (« Transfiguration ») dans le village de Koprana (« Selles »).
A Apokoronas il y a également un bâtiment remarquable de l’époque gréco-romaine : l’Arche Grecque. Il se trouve à l’est de Vryses et enjambe la rivière Vrysano. La longueur de son arche est de 11,10 mètres pour une hauteur de 8,40m et une largeur de 4,80. Sa construction est liée à la légende commune à tous les ponts réputés de Grèce : le sacrifice d’une personne dans ses fondations.
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MessageSujet: Guerres et invasions   Apokoronas : Histoire Icon_minitimeJeu 7 Fév - 21:47

Guerres et invasions :
En raison de l’importance stratégique de sa situation, Apokoronas vit chaque conquérant de l’île bien fortifier la province afin de s’assurer le contrôle de tous les déplacements vers la partie occidentale de l’île. Ainsi nous retrouvons les forteresses suivantes : la forteresse d’Apokoronas à l’est de Kalyves, construite par le pirate Pescatore en 1206 ou par les Vénitiens. Sa principale fonction fut de protéger les Vénitiens contre les révoltes des Crétois et les pirates. Le Kastellanos (commandant de place) y avait son bureau. La forteresse d’Agios Nikolaos à Kyriakosellia a été construite par le comte de Malte. Elle a été conquise à la révolution de 1217 par les Melissini, les Skordilides et les soldats de l’empereur niçois Ioannis Batatsi qui la garderont jusqu’en 1236 lorsqu’ils la donnent aux souverains vénitiens de Crète. La forteresse Itzentin, à côté du village de Kalami. Elle a été construite en 1872 par le gouverneur de Crète Reouf (Pasha) à la place d’un tour existante, construite en 1646 par les Turcs. Cette forteresse a été bâtie afin de dominer l’entrée du golfe de Souda. La tour d’Aptera a été élevée en 1867 par Sava à l’extrémité nord-est de l’ancienne ville d’Aptera. Par sa situation panoramique, elle permet un contrôle de tout mouvement ayant lieu dans la région tout autour. La tour d’Alidaki à Brosnero a été construite par Ibrahim Alidaki et a été assiégée par les Sfakiotes et les combattants d’Apokoronas en 1774. Et finalement la forteresse d’Almyros, située à côté de Georgioupoli, a été construite lors des premières années de domination vénitienne.
Apokoronas, comme tout le reste de la Crète, a été conquise par les Romains en 69 av. J.-C. après de nombreux combats. Lors de la scission de l’empire romain, elle fut rattachée à l’occident et devint une partie de l’empire byzantin.
Parfois eurent lieu des incursions de Sarrasins avant la conquête par les arabes en 824. Vint en même temps le danger de voir éradiqués sur l’île la population grecque et le christianisme suite à la pression dure et inhumaine des Arabes jusqu’à sa libération en 961 par Nikiforos Fokas. Directement après arrive le saint Nikos le « Metanoeite » (« repenti ») rapportant la lumière de l’orthodoxie et l’île dépeuplée se voit repeuplée de nouveaux habitants. Alors, à leur Armeni cohabite une Armeni des soldats de Nikiforos Fokas.
En 1182, l’empereur Alexios B’ Komninos envoya en Crète son fils Isaac avec 12 enfants de riches familles qui sont devenus les fondateurs de grandes familles. Ces enfants de riches familles étaient N. Argyropoulos, Th. Arholeos, P. Varouhas, D. Vlastos, Fil. Gavalas, M. Kalafatis, L. Lithinos, L. Mousouros, Ad. Melissinos, M. Skordilis, I. Fokas et Ev. Hortatzis.
Ainsi peu à peu l’île évolua. Différentes églises ont alors été construites et d’importants hagiographes créent d’importants décors hagiographiques, d’une grande qualité artistique et témoignant d’une influence d’Istanbul. Trois d’entre elles sont encore sauvegardée de nos jours et sont la Panagia (« Notre-Dame ») Serviotissa à côté de Stylos, Agios Georgios (« Saint Georges ») à Kournas et Agios Nikolaos (« Saint Nicolas ») à Kiriakosellia.
Lors de l’époque byzantine, Aptera était le siège de l’évêque de toute la province. Lors de la conquête turque de 1204, les Byzantins ont vendu la Crète aux Vénitiens pour 75.000 pièces d’or. Les Génois tentèrent alors de la conquérir mais les Vénitiens la gardèrent jusqu’en 1212. Apokoronas Gavalohori devient alors le fief des Gavalas, Alikampos celui des Kontis, Asi Gonia celui des Papadopoulos, Kalyves celui des Skordilis et Stylos et Brosnero ceux des Mousouros.
Certaines libertés étaient laissées lors de la domination vénitienne, ce qui permit le développement des lettres et du commerce. Cependant les indigènes n’ont jamais accepté cette souveraineté vénitienne et l’on dénombre lors de cette domination 27 grandes révolutions ainsi que de nombreux mouvements et révoltes. En 1212 eut lieu la révolte des Agiostefaniens ou des Argyropoulos. En 1217, c’est au tour de la révolte des Skordilis et Melissinos. En 1228-1234 éclata une nouvelle révolution avec plus de chefs des Skordilis, Melissinos et Drakontopoulos. Elle prit fin avec un traité et l’octroi d’une amnistie générale. En 1261, Michaël Palaiologos incite avec une nouvelle révolte ayant pour but la prise d’Istanbul. En 1271, les frères Théodores et Georges Hortazis proclamèrent une nouvelle révolution ayant comme fin sans gloire leur expatriation en 1277. La révolte d’Alexis Kallergis (1263-1299) prit également fin sans résultat et après 1332 commence une nouvelle révolution avec les chefs des Kallergis, Kapsokalyvis et Psaromilingos. Cette révolution a initié Smyrilios, chef de famille, d’Apokoronas. Après la fin tragique de Léon Kallergis, il se révolta lui-même en 1341. Ses partisans étaient cependant inorganisés et furent vaincus. Smirilios et ses deux fils Michaël et Ioannis (Jean) furent arrêtés et décapités.
1363 a été marqué par un événement célèbre : les propriétaires terriens vénitiens ont protestés contre les lourds impôts que leur imposait leur Sérénissime Démocratie et décidèrent de se révolter, proclamant une démocratie autonome sous la protection de l’apôtre Titus (Démocratie d’Agios Titos), alliée avec les chefs crétois. Cependant les querelles internes et l’intervention active des Vénitiens ont dissous la révolution. En 1365 eut lieu une nouvelle révolution d’Ioannis (Jean) Kallergis avec un caractère clairement grec mais elle prit fin sans résultat.
Lors des années de dominations vénitiennes qui ont suivi, les tout-puissants Vénitiens ont imposé leur souveraineté absolue sur l’île. Seulement des mouvements locaux eurent lieu mais matés immédiatement.
En 1527 eut lieu la révolution de Georges Kantanoleos qui eut un résultat tragique. Plus de 2.000 rebelle d’Alikampos prirent part à cette révolution. Après la révolution, les Vénitiens ont détruit le village et exilé presque tous les habitants.
Les Vénitiens de Crète furent également attaqués à plusieurs reprises par les Turcs aussi bien par des attaques sérieuses que des attaques de piraterie.
En 1538, Le pirate Corentin Barberousse et l’escorte de la flotte turque débarquèrent près d’Almyros (Apokoronas) et dévastèrent la forteresse d’Apokoronas (Kastelli Kalyves) et les Aptera, poursuivirent des pillages, meurtres et viols. Ils s’avancèrent ensuite vers l’intérieur des terres et liquidèrent chaque résistance.
En guise de sécurité, les Vénitiens placèrent alors un chef centurion dans chaque village. A Alikampos ils placèrent K. Konti (« Court »), à Brosnero Nikolos Skordilis, à Kefalia Gianni Sklavos, à Fres K. Louvinas et Sava Matzokopos, à Kalyves Manolis Figkalis et ils désignèrent Gianni Apokoronitis comme gouverneur de galère.
Malgré les motifs donnés par des épisodes sporadiques, il n’y avait pas de conflits entre les deux forces. Tant l’occident chrétien que la Turquie musulmane se trouvaient affaiblis pour une campagne de conquête. C’est seulement avec la montée de Mourat D qu’a été consolidée l’imposition du sultant et son fils, Ibrahim A attendit le temps opportun pour prendre l’île.
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